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Le plus récent édifice religieux est la chapelle Notre-Dame de Gourmalon, inaugurée en 1909, et construite malgré l'opposition du clergé par les habitants du quartier qui trouvaient l'église du bourg trop éloignée. Une radio locale associative, Radio Chrono 99. Le 14 avril 2000, de légers dégâts sont constatés au restaurant de Pornic. Mar 14 158941 Hits Jadna riba, nakon gledanja ovog pornica, nisam mogao da verujem da neko stvarno moze ovoliko da uziva u mnogo kurcina. L'ancre, le canon et l'étoile évoquent le lougre La Belle Étoile arraisonné par le Commodore Warren en. Ce dossier pénal donne lieu à controverse. La ville est occupée par la le 26 juin. Kad ljudi vide, da normalno nastaviš sa životom, onda se stvarni brzo zaborave. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. La commune est représentée au conseil intercommunal par le maire qui est président de la communauté et 22 élus communautaires. Devojke drugi dan jedva da su hodale ali svejedno su sa somehom prical eo tome kako su imali po dve kare u isto vreme u sebi ovo leto poludela je na skroz, voli da se kara i prci gdi stigne i sa kime stigne, moja najbolja komsinica postaje kraljica trotoara naravno da ovakva picka moze da udje na kakav pary hoce ali zeljela je kurca pa se pravila da mora da popusi, na kraju su je punili redom svi drugari na tulumu Pazi glupo je uopce da pricam dal je netko uspio da pokara i naravno da su svi navaljivali ko pcela na med, kako je zavrsilo pogledajte klikom na video. Svuda sam se pojavljala.

Pornic est une de l'Ouest de la , située dans le de la , en. La commune fait partie de la historique, dans le du et dans le du. Les habitants de la , qui s'appellent les Pornicais, étaient au nombre de 14 578 selon le dernier recensement de l'Insee de 2014. Située au bord de l', la ville est connue pour son et son vieux port. Ses principales ressources sont, au début du XXI e siècle, le tourisme et les produits de la mer. Pornic est également appréciée pour sa , son , son centre de , son 18 trous et sa fraiseraie. Communes limitrophes de Pornic , , , , Géologie et relief Territoire À l'origine, la commune de Pornic ne comptait que l'actuel centre-ville ; constituait l'actuelle partie ouest et représentait l'essentiel des terres bocagères du nord-est, donc une grande partie de l'actuelle commune qui est une des quatre plus grandes de la. Géologie Pornic se situe au sud du , au sud du , dans le domaine armoricain hercynien qui est en grande partie constitué de granites d'origine hercynienne zone broyée sud-armoricaine. La formation de son sol date d'au moins 500 millions d'années. Littoral, relief et hydrographie Sa côte, au nord de la , est découpée, rocailleuse et parsemée de criques. La ville de Pornic s'est développée autour du port, bâti au pied du , à l'embouchure d'une rivière partiellement aménagée : le creusé à l'origine pour relier Pornic au réseau du par l' et le , les travaux n'ayant jamais été achevés. Le paysage de la commune est et peu vallonné dans les terres. Selon le site meteo Bretagne présentant des relevés entre 1981 et 2009, Pornic est soumise à un climat océanique, avec un doux et humide et un plutôt chaud, code Cfb de la le double de la valeur absolue de la température du mois le plus sec est supérieur à la valeur absolue des précipitations du mois le plus sec, avec des précipitations inférieures 40 mm, un rapport de quantité de précipitations entre le mois le plus sec et le mois le plus humide inférieur à 3, et la température moyenne du mois le plus chaud ne dépasse pas 22 °C , comme la plus grande partie du territoire français. Relevé météorologique de Pornic entre 1981 et 2009 Mois jan. Transports en commun La ville est desservie par le réseau. Réseau routier La commune est traversée par la , reliant aux qui permet l'accès à Pornic via trois échangeurs. L'autre axe principal est la RD 751 qui relie la ville à. Cette route s'est appelée à l'origine chemin royal de Préfailles à , car elle longeait la Loire sur sa rive gauche entre ces deux villes. La RD 13, ancien axe principal, traverse la commune d'est en ouest et la relie à La Bernerie-en-Retz et à La Plaine-sur-Mer. Transport maritime En avril 2017 la liaison estivale avril à septembre Pornic - Noirmoutier est rétablie quelque temps puis interrompue définitivement en juin pour la saison 2017. Morphologie urbaine Pornic s'est développée autour de son port. À l'origine, il ne s'agit que d'une place forte couvrant 7 hectares, avant l'annexion du domaine de Monplaisir qui double sa surface, puis le transfert de 15 hectares de la commune de en 1791, de l'annexion de 123 hectares en 1836, à partir de terrains de Sainte-Marie et du , pour un total de 153 hectares centrés autour du port, avant la fusion avec les deux communes voisines en 1973, après laquelle la commune totalise plus de 10 000 hectares. Ruelle montant du port vers l'église. Avant le XVII e siècle, le bord de mer abrite l'ancien habitat des pêcheurs de , appelé le « quartier arabe ». La version la plus courante fait provenir ce nom de l'évocation de parties de villes arabes qui présenteraient les mêmes maisons hétéroclites réunies anarchiquement. Une autre version s'appuie sur la présence de plantés dans les jardins. À partir du port, des rues étroites remontent vers le bourg. Sur ce coteau sont construites les maisons de , de navires, , fabricants de et de. Au fil du temps, le port s'envase. La rivière du Cracaud se comble d'alluvions, et, au XXI e siècle, cet ancien port se présente sous la forme d'un jardin. Depuis le bas de la pente, les jardins encadrés de murets de pierre s'échelonnent jusqu'à la rue de la Dette. Cette zone conserve de nombreuses traces de l'habitat ancien. La mode de l' qui se développe à partir des permet à Pornic de combiner l'attrait d'une station balnéaire et celui d'une station thermale. La vertu des eaux des sources ferrugineuses découvertes vingt ans plus tôt attirent les Nantais aisés. La ville se développe autour du port et sur le littoral : hôtels, casinos, maisons de bains, villas. Ces dernières sont dotées de jardins arborés, ce qui modifie l'aspect des landes rocheuses couvertes d'ajoncs. En 1836, le lieu-dit Gourmalon, sur la rive gauche du port, est rattaché à Pornic. Là, un quartier de villas bourgeoises à l'architecture recherchée voit le jour. La rive sud du port est occupée à partir de 1881 par une imposante , juste à côté de la gare construite en 1875. La voie ferrée arrive dans le prolongement du port, dans un axe est-ouest. Au début du XXI e siècle, la « Ria verte », ancien arrière-port envasé, à l'est du port aussi appelé « Ria bleue », fait l'objet d'un plan d'aménagement couvrant 35 hectares dont 12 hectares aménagés en parc botanique, avec un quartier d'habitation de plus de 600 logements, 3 200 m 2 de bureaux et un complexe de loisirs devant accueillir le nouveau , une salle de congrès, ainsi qu'un hôtel ,. Logements En , l' dénombre près de 11 236 logements sur l'ensemble du territoire communal, soit 1 370 de plus qu'en ; 6 117 sont des 54,4 % et 4 644 sont des ou des logements occasionnels 41,3 %. Le nombre de logements vacants 4,2 % a augmenté de presque 50 % depuis , pour atteindre 475 en. La construction de logements depuis a connu une accélération après 1989, avec un nombre moyen annuel de nouveaux logements s'établissant à 46 entre 1949 et , 42 entre et et 73 entre et. L'Insee recense 1 262 habitations construites avant 1949 soit 21,5 % , 1 205 entre 1949 et 1974 20,5 % , 1 514 l'ont été entre 1975 et 1989 25,7 % , et 1 899 entre 1990 et 2005 32,3 %. Le nombre de a pour sa part augmenté entre 1999 et 2008, passant de 119 à 175, mais ce type de logement ne représente que 2,9 % des résidences principales. Le nom de Pornic est attesté au XI e siècle sous la Castrum Porsniti, puis apparaît sous les graphies Pornit en , Porsnith en , de Pornidio vers. La forme Pornic se rencontre dès le XIV e siècle. Certaines de ces attestations comportent la forme latinisée remise ici au Portus nitidus, qui représente une reposant sur Pornit, fantaisie d'un médiéval : « beau port », « port florissant » ou encore « port coquet, accueillant ». Pornic possède un nom en , la locale : Port-Nitz. L'étymologie de ce nom a divisé les spécialistes. Or on sait que ce aboutit normalement en Bretagne à la terminaison -ac. Longnon prévient l'objection en affirmant que la forme moderne en -ic « a été très probablement influencée par la colonie qui se fixa dans ces parages au cours du V e siècle ». Cette interprétation est difficilement compatible avec les premières formes relevées, sans doute ignorées du grand que fut Auguste Longnon. Par « breton », il faut vraisemblablement comprendre ici « insulaire », originaire de Grande Bretagne. Il s'agirait alors d'une formation relativement ancienne, pouvant dater des ou. Cette interprétation est reprise par des ouvrages plus récents, dont celui de Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak qui se contentent de délayer le texte de Dauzat, sans vraiment rien apporter de plus. Hervé Abalain va par contre un peu plus loin en invoquant un nom de personne plus tardif que Nitos, à savoir Neiz , qui fait « plus breton », mais ne semble pas nécessaire d'un point de vue linguistique. Il sera suivi par , qui ne mentionne pas ce toponyme dans son ouvrage consacré aux noms de personnes dans les noms de lieux — rejet implicite de l'explication de Longnon — et par , qui n'inclut pas davantage Pornic dans sa monumentale. On notera en particulier qu'à l'article Neiz, nom de personne breton figurant dans divers toponymes, et invoqué plus haut par Hervé Abalain, Pornic ne figure pas, et que l'étymologie de l' Neiz est jugée par ailleurs incertaine. Aucune analyse de Pornic n'est proposée non plus dans l'ouvrage de Jean-Yves Le Moing consacré aux noms de lieux bretons de Haute-Bretagne , qui fournit néanmoins quelques formes anciennes datées. Un point en particulier reste en suspens, dans le cadre de cette hypothèse : la datation du toponyme et la nature exacte de ses éléments. En d'autres termes, s'agit-il d'une formation de type gallo-romane PORTU + Nitos, ayant évolué selon la phonétique bretonne, ou d'une formation médiévale plus tardive, reposant déjà sur le breton porzh? Or dans cette dernière acception, le mot porzh est un élément toponymique extrêmement fréquent, employé en combinaison avec un nom de personne. Si la situation maritime de Pornic fait immédiatement penser à un « port », il n'en reste pas moins que le sens de « cour » ne semble pas devoir être exclu a priori. Préhistoire et Antiquité La découverte entre autres de deux et d'une hache en conduit à estimer la première présence humaine sur le territoire de la commune à environ 100 000 ans avant notre ère. Les encore visibles au début du XXI e siècle permettent d'attester le peuplement humain du site de Pornic au V e millénaire av. Une partie du patrimoine mégalithique a été recouvert par les eaux, le niveau de la mer ayant varié au fil du temps. Durant l'Antiquité, Pornic dépend de la confédération armoricaine qui règne sur l'Armorique, vaste territoire englobant les actuels , , et. Elle faisait partie d'un petit : le Pagus Ratiatensis « Pays de », ancêtre du. Ses habitants étaient, soit des « Ambiliati » , soit des Anagnutes. Moyen Âge Plaque commémorative de l'établissement de Pornic en tant que place forte sous. Au IX e siècle, Pornic fait partie du comté d', qui regroupe militairement l'ensemble des paroisses et villages du en lutte contre les invasions. En , le roi de Bretagne, , et le roi de France, , signent le qui permet aux Bretons d'élargir leur territoire en occupant le , le et le. Au X e siècle, le érige une forteresse dans la vallée de Pornic pour protéger la ville des. De ce castrum ne subsiste au XXI e siècle que le nom de la rue de la Douve et du chemin des Remparts, et le relief de la butte du calvaire. Plus tard elle devient une des résidences de , personnage qui a inspiré le conte de. L'histoire de la ville est également liée à celle de l' à l'origine de la commune de. Révolution Pendant la , une part importante des Pornicais est favorable à la République. Le , la garde nationale, composée de 400 hommes conduits par un prêtre, curé du Clion, s'affirmant « curé républicain », sort de la ville pour récupérer du blé. Les « blancs » troupes royalistes en profitent pour attaquer la ville : c'est la. La ville est prise par le. L'armée royaliste compte de nombreuses pertes, et 250 blancs faits prisonniers par les républicains sont fusillés. Le a lieu la les insurgés menés par s'emparent de la ville, la pillent et mettent le feu aux maisons supposées abriter des républicains. Un mois plus tard, Charette évacue Pornic devant la menace du général républicain. Depuis le XIX e siècle Au XIX e siècle, l'essor de Pornic en tant que , favorise en , l'arrivée du train et l'inauguration de la , à la suite de la construction de la. Cette situation amènera aussi, en , l'inauguration de la à desservant les lieux de villégiature de la , service qui prendra fin en. À cette époque, de nombreux artistes fréquentent Pornic : des écrivains comme , , , ou , De nombreux peintres ont également été inspirés par cette ville et ses alentours : , , , , , , , , , Gustave Quenioux, , Edouard Porquier, , , et. Lors de la , le 17 juin 1940, le est coulé par l'aviation allemande. Une partie des 4 000 à 7 000 morts sont enterrés dans le cimetière anglais de Pornic. La ville est occupée par la le 26 juin. De nombreuses fortifications sont bâties à Pornic dans le cadre de l'édification du. L' se prolonge d' au pour les Pornicais qui n'ont pas fui ou été évacués, durant donc neuf mois de plus que dans la plus grande partie de l'ouest de la France. Car Pornic est situé dans une zone de repli des troupes allemandes, dite , dont la reddition effective intervient trois jours après la. Pornic fusionne avec et le. Le 14 avril 2000, de légers dégâts sont constatés au restaurant de Pornic. Six militants indépendantistes bretons sont mis en examen pour cet attentat, dont d'abord trois sont mis hors de cause. Plus tard, les trois autres sont relaxés pour cet attentat par la cour d'assises. Ce dossier pénal donne lieu à controverse. Le décompte des votes du 1 er tour de l' a révélé à Pornic un taux d'abstention de 12,01 % , nettement inférieur au taux national. Les électeurs pornicais ont principalement voté pour 37,20 %, 21,44 %, 20,01 %, 7,74 % et 4,24 %. Sarkozy obtient 6 % de plus qu'au niveau national, M me Royal 4 % de moins. Cette tendance se confirme au second tour, avec une abstention toujours inférieure à celle du pays entier, car si Pornic vote majoritairement pour M. Sarkozy 60,21 % , devant M me Royal 39,79 % , c'est avec un écart nettement supérieur à celui de l'ensemble du pays respectivement 53,06 % et 46,94 %. Le député de Pornic est M. Au premier tour, M. Boennec avait obtenu à Pornic 48,86 %, M me Rabin 22,70 %, M. Guillon - 8,36 % et M. Cossée 6,99 %, aucun autre candidat ne dépassant les 5 %. L'abstention a été respectivement de 33,81 % et 31,80 %. Liste des maires Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1815 1821 Édouard Thomas démissionne 1821 1827 Jean François Benoist ancien adjoint 1827 1830 Pierre Perrotin 1830 1835 Eugène Terrier 1835 1841 Julien Guichet meurt pendant son 1841???? Julien Quirouard 1852 1856 Stanislas Bocandé 1856 1860 Guillaume Tardif négociant en bois 1860???? Alfred Chauvin 1929 1943 Joseph Girard 1971 1977 Jean Courot du 1967-1976 1977 1983 Joseph Girard 1983 1985 démission Albert Jan 1985 1993 Gilbert Pollono 1993 2014 puis du 1998-2007 Président de la 2001-2014 de la 2007-2012 2014 en cours Jean-Michel Brard Président de la Communauté d'Agglomération Les données manquantes sont à compléter. La commune est représentée au conseil intercommunal par le maire qui est président de la communauté et 22 élus communautaires. Le 1 er janvier 2017, le communauté de communes de Pornic et fusionne pour constitué une baptisée « », dont la ville de Pornic est le siège. Démographie Selon le classement établi par l', Pornic est le centre d'une , d'une et d'un. Elle fait partie de la de. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « » : 66 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires », 31 % dans des zones « peu denses » et 4 % dans des zones « très peu denses ». Évolution démographique En 1973, la commune absorbe et. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les des communes sont publiées annuellement par l'. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans ,. En 2015, la commune comptait 14 902 habitants , en augmentation de 5,68 % par rapport à 2010 : +6,49 %, hors : +2,44 %. La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans 38,3 % est en effet presque le double du taux national 22,6 % et du taux départemental 22,5 % , ,. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux 52,2 % est du même ordre de grandeur que le taux national 51,6 % , ,. Enseignement Pornic dépend de l'. Au 1 er janvier 2011 les établissements publics d'enseignement primaire sont les écoles Kerlor, les Nondales et Les Sablons ; les établissements privés d'enseignement primaire se dénomment Ange-Gardien, Saint-Joseph et Sainte-Victoire. En ce qui concerne l'enseignement secondaire, au 1 er janvier 2011 se trouvent sur le territoire de la commune le collège public Jean-Mounes , le collège privé Notre-Dame de Recouvrance et le lycée public du. Manifestations culturelles et festivités Depuis , la ville est animée au printemps et en été par le festival « La Déferlante ». Diverses manifestations culturelles gratuites sont organisées par l'association éponyme dans neuf stations balnéaires de la Loire-Atlantique et de Vendée : , Pornic, , , , , , et du nord au sud. Santé Un centre hospitalier est installé à Pornic : l'hôpital intercommunal du pays de Retz, qui dispose dans la commune de son siège social et d'une antenne en centre-ville ,. Sports Historiquement, le football et le rugby respectivement 450 et 140 licenciés en 2009 sont les activités sportives phare de la ville. L'équipe de basket a atteint la Fédérale plus haut niveau amateur national dans les. À cette époque, l'association de gymnastique l'Envol est créée. Rebaptisée l'Optimiste dans les , elle compte 240 membres au début du XXI e siècle. La ville compte en 2011 une cinquantaine de sections ou d'associations sportives. Les sports nautiques et aquatiques sont fortement représentés : plongée, voile, aviron, kayak, plaisance. La présence d'un terrain de golf 18 trous sur la commune explique l'existence de deux associations proposant la pratique de ce sport. Les sports collectifs rugby, football, volley, handball, basket et individuels tennis, arts martiaux, gymnastique, tir sportif complètent cet ensemble. Médias Outre les deux grands quotidiens régionaux et , l'hebdomadaire est diffusé à Pornic. Une radio locale associative, Radio Chrono 99. Cultes Des lieux de cultes de la commune sont dédiés à la pratique de la. Le territoire de la ville fait intégralement partie de la paroisse Saint-Jean-le-Baptiste-en-Retz dans la zone pastorale du , qui dépend du. Le culte est pratiqué dans les églises Saint-Gilles de Pornic, du et Sainte-Marie de. Écologie et recyclage Dans le cadre de la préservation du bord de mer, le a, entre 1981 et 2011, progressivement acquis 31 hectares du littoral de la , entre Préfailles et Pornic. La volonté est de « renaturer le site », en détruisant les constructions et en éradiquant les arbres et plantes exotiques au profit des essences locales. Toutes les réalisations humaines sont écartées pour préserver cet espace naturel, une des rares portions du littoral de la Loire-Atlantique à ne pas être urbanisé. Depuis 2002, la commune pratique le. Les déchets ménagers sont collectés par un service de la , transitent par un dépôt à , avant d'être incinérés dans l'usine Arc-en-ciel à. Emploi En 2008, 8 422 Pornicais avaient entre 15 et 64 ans, les actifs ayant un emploi représentaient 63,8 % de la population, les retraités en représentaient 14,2 %, tandis que 8 % des Pornicais étaient considéré comme autres inactifs. Enfin la population estudiantine représentait 8,2 % des habitants de Pornic La même année l' recense un taux de chômage de 8,4 % pour la commune contre 9,5 % pour le département. Répartition des emplois par domaines d'activité en 2008 Agriculture Industrie Construction Commerce, transport, services Administration, santé, enseignement, social Pornic 2,9 % 7,6 % 7,8 % 53,1 % 28,5 % Moyenne départementale 2,8 % 14,7 % 7,4 % 46,0 % 29,1 % Sources des données : Insee Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2008 Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions intermédiaires Employés Ouvriers Pornic 2,4 % 8,4 % 9,2 % 23,0 % 37,8 % 19,1 % Moyenne départmentale 1,7 % 5,4 % 15,3 % 26,1 % 27,8 % 23,7 % Sources des données : Insee Entreprises et commerces Selon l', au 31 décembre 2008 Pornic comptait 1 444 entreprises, onze d'entre elles comptant plus de cinquante salariés dont cinq dans l'administration, la santé, l'enseignement, etc. Activité portuaire L'activité liée à l'exploitation des produits de la mer a longtemps été un facteur essentiel de l'économie pornicaise. Même si le port de pêche est toujours actif en 2011, dans des proportions modestes. La flotille du port pêche environ 50 tonnes de produits de la mer par an. L'activité de plaisance quant à elle s'est fortement développée. La ville présente deux ports liés à cette activité : le port départemental de Gourmalon avec 350 mouillages , et le port de plaisance de la Noëveillard, aussi appelé « Yacht Club International de Pornic » YCIP , qui compte 919 emplacements pour les embarcations de 6 à 25 m. Industrie La Paulet, basée à , établit à Pornic une conserverie de poissons, qui devient propriété du groupe américain Star Kist. En 1966, l'unité emploie cent personnes, et conditionne 3 000 tonnes de sardines à l'huile. Cette conserverie ferme en 1989. Les Dryander, famille lorraine de faïenciers depuis 1827, fuient leur région d'origine au début de la. Émile Dryander, une fois installé à Pornic, y fonde en 1947 la Manufacture bretonne de faïence artistique MBFA , et transforme, aidé de Rémi Doucet, une petite usine électrique abandonnée pour s'y installer. En 1994, l'entreprise prend le nom de. Elle produit 800 000 pièces par an. En 2011, la production est de 600 000 unités, la faïencerie emploie 26 personnes. C'est à Pornic qu'est installée depuis 1987 la fabrique du fromage. Services Une des entreprises les plus importantes de la ville est le centre de thalassothérapie de Pornic, ouvert en 1990, devenu l'un des quinze premiers du secteur au niveau national en 2006. Une autre entreprise notable dans ce secteur sont les transports Pollono, fondés en 1922. Agriculture La surface exploitée a un peu décru entre 1988 et 2000, passant de 7 005 ha à 6 552 ha. L'élevage bovin est en régression sur la même période 8 910 à 7 412 , tandis que le nombre de volailles a fortement progressé, de 22 286 à 70 332. Agroalimentaire La ville l'élevage Laraison, les établissements Collet, spécialisés dans la préparation de plats cuisinés , la maison Cassard, spécialisé dans l'élevage de pigeons de chair, ainsi que la Fraiseraie, experte en produits à base de fruits rouges. Tourisme Au 1 er janvier 2011, Pornic abrite six hôtels un 1 étoile, trois 2 étoiles et deux 3 étoiles , qui offrent 282 chambres. Les neuf terrains de camping de la ville disposent à la même date de 1 607 places. Pornic est également doté d'un depuis 1899. Les plages de la ville se nomment plage de la Birochère, de la Boutinardière, de la Fontaine au Bretons, des grandes Vallées, de la Joselière, de Montbeau, de la Noëveillard, du Portmain, des Sablons, de la Source, de l'Étang et du Porteau. La commune recèle également l', d'une superficie de 15. Patrimoine civil Tumulus des Mousseaux Le est le plus important de Pornic. Il est situé à l'ouest du centre ville, au nord du port de plaisance de la Noëveillard, à 40 mètres au-dessus du niveau de la mer. Il se présente sous la forme d'un à trois niveaux, constitué de dalles de , recouvrant deux tombes. Château des Brefs Le château des Brefs est un château fort construit au XII e siècle sur l'ancienne commune du , d'abord en bois, il servait de maison de quarantaine pour le port de Prigny. Reconstruit en pierre le siècle suivant, il garda son aspect médiéval jusqu'au XVII e siècle, date à laquelle cette propriété des fut rasée sous le règne de. Sur les caves voûtées fut reconstruit un château de plaisance de. Au XVIII e siècle : le château est modifié et agrandi. Durant les , il est en partie détruit, et menace de tomber en ruine. Au XIX e siècle, il est acheté par une famille de notables locaux les Bocandé Stanislas Louis Xavier Bocandé est maire de Pornic au milieu du XIX e siècle. Le château est alors restauré en 1830 dans le style Clissonnais, très en vogue à cette époque dans la région. Au XX e siècle, Yvonne Dorigny 1889-1983 , fille de Léon et Thérèse Bocandé se marie avec Raymond Gallimard, frère et associé de , l'éditeur parisien. Le château connaît alors une renommée internationale, et beaucoup d'écrivains y viennent comme : ou. Simone, l'épouse de Claude Gallimard, la belle-fille de Gaston, continue la vie littéraire dans cette maison, jusqu'au tragique accident de voiture survenue dans l', le qui coûte la vie à Michel Gallimard, le fils de Raymond, et à Albert Camus. Le château tombe alors à l'abandon, jusqu'à être ruiné et pillé. En 1989, le bâtiment est restauré par une association, présidé par le conteur Éric Chartier, avec le concours des collectivités territoriales, et la ville de Pornic. Depuis, le lieu est un centre d'art et de culture, où chaque année ont lieu des pièces de théâtre, des expositions d'art, et des soirées littéraires. Château de Pornic Le a été bâti du XIII e au XV e siècle, modifié au XIX e siècle. La partie la plus ancienne est la tour nord, qui est surmontée de machicoulis. Les bâtiments au centre de la forteresse ont été modifiés au XV e siècle, période à laquelle la tour sud est bâtie. Le château appartient successivement à , , et aux familles Coétivy, Gondy, Villeroy et Brie-Serrant. Il est racheté par les collectivités locales en 1824. Autres bâtiments Le manoir de la Touche, datant de la XVI e siècle , héberge régulièrement à partir de , qui y rédige une partie de son Histoire de la Révolution française. Il y écrit aussi La Mer en. Les halles, propriété de la ville depuis 1825, datent elles du XVIII e siècle, lorsque le décide de remplacer le premier bâtiment édifié sur ordre du duc en 1609. Une a été bâtie au XVIII e siècle à la Mossardière, sur commande de Félix-Louis Quatreville, époux d'un armateur pornicais. Typique des maisons de villégiature construite au XIX e siècle, la villa Roche Cahn est ornée de briques rouges, de faïence, et de piliers et terrasses de bois peint. On retrouve ces éléments dans l'ancien casino, construit en 1899 sur la plage de Gourmalon. La gare date de 1875. Patrimoine religieux L'église du Clion date du XIII e ou du début du XIV e siècle, et a été remaniée aux XVII e et XIX e siècles. Son clocher, un clocher-porche, est doté d'un carillon mécanique de 1857 qui peut sonner une octave complète. Il ne reste que des vestiges de l'ancienne , dans la cure de l'ancienne commune , où l'église Sainte-Marie, de , date de la fin du XIX e siècle ; elle recèle une pierre tombale, datant du XIV e siècle. L'église Saint-Gilles de Pornic, la troisième construite depuis l'origine, date de la fin du XIX e siècle. Le plus récent édifice religieux est la chapelle Notre-Dame de Gourmalon, inaugurée en 1909, et construite malgré l'opposition du clergé par les habitants du quartier qui trouvaient l'église du bourg trop éloignée. Le juvénat Saint-Joseph, sis à La Fontaine aux Bretons, propriété de la congrégation des frères Saint-Jean Baptiste de La Salle, actuellement dédié à l'hébergement de pensionnaires de séjours et colonies de vacances. La maison de villégiature Monval. Cette propriété est construite en 1855 pour l'Abbé Joseph Pétard, qui y fait construire outre une maison, une chapelle où il fait construire son tombeau, le financement de ces travaux reste à ce jour encore un mystère. Ses héritiers deviennent propriétaires en viager le 24 mai 1894. Puis , industriel de Nantes conserveries , gendre de l'architecte Léon-Félix Lenoir, acquiert la propriété le 2 octobre 1902. Il fait construire une maison de garde en 1904 et l'année suivante une remise et une écurie. Il fait également agrandir la maison, et il ajoute à l'ensemble un Son fils, Maurice, en hérite le 15 octobre 1918 avant que M. L'Association Diocésaine de Nantes acquiert la propriété le 19 mai 1937. L'ensemble est utilisé en priorité comme maison de repos pour membres du clergé catholique, et reçoit aussi d'autres hôtes notamment en dehors de la saison d'été. Cimetière Le en anglais : Pornic War Cemetery a été ouvert pour permettre l'inhumation des victimes du naufrage du RMS Lancastria, torpillé le 17 juin 1940. La moitié des 399 tombes du site sont celles des victimes de cet évènement. Commentaires : Depuis la fusion des communes de Pornic, du et de , la mairie a opté pour un nouveau blason qui reprend les armes respectives des trois communes voir ci-après. L'ancre, le canon et l'étoile évoquent le lougre La Belle Étoile arraisonné par le Commodore Warren en. La barre d'argent symbolise le canal de Haute-Perche. La tour-carillon du date du XV e siècle : on y allumait des feux, les nuits sans lune, pour guider les navires vers le canal. La « Vierge à l'Enfant » est une vierge-tabernacle, œuvre d'art liée à la paroisse de. Le porc-épic ou hérisson selon d'autres sources rappelle les moines de arrivés au VIII e siècle et sachant défendre leur territoire prieuré de — Brevet d'Hozier,. Il pourrait aussi évoquer l'animal emblème de , époux de la reine et duchesse. Les fois poignées de mains, avec manches soulignent symboliquement l'unité, l'amitié et la fidélité entre les trois territoires ainsi que leur avenir commun. Les mouchetures d' évoquent l' plain de la , rappelant l'appartenance de la ville à la. Au centre, l'écusson d'or à la croix de sable est celui du , rappelant l'appartenance de Pornic, du et de au. Blason conçu par Romuald Renaud en ,. Anciennes armes de Pornic, du Clion-sur-Mer et de Sainte-Marie-sur-Mer avant la fusion Armes de Pornic : Commentaires : La barre d'argent symbolise le canal de Haute-Perche. La tour-carillon du date du XV e siècle : on y allumait des feux, les nuits sans lune, pour guider les navires vers le canal. Les mouchetures d' évoquent l' plain de la , rappelant l'appartenance de la ville à la. Blason conçu par M. Durivault délibération municipale du 12 mai 1946 , enregistré le 13 mai 1970. Armes de Sainte-Marie-sur-Mer : Commentaires : La « Vierge à l'Enfant » est une vierge-tabernacle, œuvre d'art liée à la paroisse de. Le hérisson ou porc-épic selon d'autres sources rappelle les moines de arrivés au VIII e siècle et sachant défendre leur territoire prieuré de — Brevet d'Hozier,. Il pourrait aussi évoquer l'animal emblème de , époux de la reine et duchesse. Au second , le chef est aux couleurs or et sable du : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de au. Les mouchetures d' évoquent l' plain de la , rappelant l'appartenance de la ville à la. Blason conçu par M. Devises Devise de Pornic La de Pornic, Maris Stella Sit Nobis Propitia, signifie littéralement « que l'étoile de la nous soit favorable ». La locution Maris Stella correspond ici à l'une des nombreuses appellations de la , que l'on retrouve dans l' , une prière catholique qui lui est dédiée. Devise du Clion-sur-Mer La du est Semper Virens Toujours verdoyant. Devise de Sainte-Marie-sur-Mer La de est Ad Jesum Per Mariam Vers Jésus par Marie. Pornic dans l'Art Port de Pornic, 1831-1911. En août et septembre 1892, se trouve à Pornic. Il apprécie peu son séjour dans la ville. Cependant, il y peint quatre toiles, dont Voile Blanche et Plage de Pornic. Bibliographie : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Le commentaire, expédié en une ligne et demie, ne permet pas de comprendre clairement l'intention de l'auteur. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. Picard et fils, Paris, 1897, t. Champion, Paris, 1979 , p. Jean-Michel Bourdessoules, Saint-Jean-d'Angély, 2002, p. III les noms de personnes contenus dans les noms de lieux , 1985. II et III, 1991.

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